|
QUELQUES ACTUALITES NATIONALES CONCERNANT LES MALADIES PSYCHIQUES
visibles sur les sites des délégations UNAFAM 02 - 11 - 16 - 17 - 19 - 21 - 23 - 30 - 34 - 39 - 41 - 48 - 58 - 66 - 71 - 80 - 84 - 87 - 89 - 972
|
Pourquoi j’ai refusé une invitation à un séminaire organisé par une firme pharmaceutique |
2 novembre 2007 |
Dépression : découverte d'une nouvelle voie d'action |
2 novembre 2007 |
in PNAS,
mai 2007 Une équipe de chercheurs de l'Institut de génomique fonctionnelle
vient de mettre à jour une piste prometteuse pour le développement d'une
nouvelle famille d'antidépresseurs.
La sérotonine est un messager chimique entre neurones qui contrôle
les états mentaux dits de l'humeur. Un manque de sérotonine est impliqué dans
certains troubles psychiatriques, dont la dépression. Pour traiter cette
maladie, la compréhension des voies de synthèse, de transport et d'élimination
de cette molécule est essentielle. Les antidépresseurs actuels augmentent les
taux de sérotonine au niveau des jonctions entre les neurones. Mais un patient
sur trois ne réagit pas à ces traitements. Le laboratoire montpelliérain
labellisé « équipe FRM » vient de mettre en évidence une autre voie biologique
capable d'agir sur les taux de sérotonine : la voie de la
NO-synthase. Grâce
à la protéomique, les chercheurs ont étudié les agents pouvant réguler l'action
des transporteurs de la sérotonine : parmi eux, la voie du NO est apparue
intéressante. Le NO, ou monoxyde d'azote, est une petite molécule qui agit
également sur l'humeur. Elle est synthétisée par une enzyme appelée NO-synthase.
Les chercheurs ont montré que la NO-synthase entrave l'élimination
naturelle de la sérotonine au niveau des synapses et augmente donc sa
concentration. Des anomalies de cette voie de régulation pourraient bien être
impliquées dans la dépression. Si cela se confirmait, elle constituerait une
nouvelle cible pour de futurs médicaments.
-
|
 |
|
Lutte contre la Schizophrénie : RAMOT de l’Université de Tel Aviv en première ligne. |
2 novembre 2007 |
Par
P.Assouline La compagnie
pharmaceutique israélienne BiolineRx aurait obtenu des résultats positifs après
les tests de son nouveau médicament contre la schizophrénie : BL-1020. En
effet la firme a annoncé lundi 29 octobre qu’une étude préliminaire de six
semaines faite sur des patients résistant aux autres traitements, a montré une
efficacité significative de leur médicament BL-1020, ainsi qu’une diminution
notable des effets secondaires. Car s’il y a de nombreux traitements contre
la schizophrénie, maladie qui touche 1% de la population, ceux-ci ont souvent
des effets secondaires assez lourds. « Ces résultats suggèrent que le BL-1020
agissant sur des patients sévèrement atteints possède l’efficacité des
antipsychotiques actuellement disponibles mais sans leurs effets indésirables »,
a déclaré Morris C. Laster, président de BiolineRx.
-
|
 |
|
Augmentation ou pas de l'AAH? |
2 novembre 2007 |
Appel à N. Sarkozy pour lancer une réforme sur les revenus des personnes handicapées |
2 novembre 2007 |
Franchises médicales |
28 octobre 2007 |
COMMUNIQUÉ DE PRESSE:
L’Union
nationale des amis et familles de malades psychiques (UNAFAM) a écrit
à
Madame le Ministre de la Santé pour lui signaler que les franchises sur les
dépenses de santé ne sauraient s’appliquer dans le secteur de la psychiatrie
pour les soins de longue durée. Ces derniers
relèvent en effet de la nécessité d’une continuité des soins, non seulement dans
l’intérêt des personnes concernées mais également de l’ensemble des
citoyens. Jean Canneva Président
Unafam -
|
 |
|
Composantes génétiques liées à la schizophrénie |
25 octobre 2007 |
In Information hospitalière
Une nouvelle
étude montre comment le gène DISC1, déjà parmi les quelques gènes qui rendraient
les gens susceptibles à la schizophrénie, fonctionne dans le corps d’une façon
qui pourrait contribuer à la maladie.
La
schizophrénie et d’autres troubles de l’humeur connexes proviennent, pense-t-on,
d’une combinaison de facteurs génétiques et environnementaux, mais les
chercheurs ont eu de la difficulté à identifier les gènes particuliers impliqués
dans ces maladies. De plus, même si le DISC1 a été lié à la schizophrénie, la
fonction de sa protéine codée n’a pas été claire. J. Kirsty Millar et ses
collègues au Royaume-Uni présentent maintenant des preuves génétiques et
biochimiques qui suggèrent que la protéine DISC1 interagit avec une enzyme
appelée PDE4B, qui à son tour affecte l’activité de la molécule de signalisation
cAMP. Ce système de signalisation a été déjà impliqué dans l’apprentissage, la
mémoire et l’humeur dans le contexte d’autres systèmes expérimentaux, ce qui
appuie l’idée que des modifications au système peuvent contribuer à la
schizophrénie. Dans une Perspective correspondante, on fait remarquer que ces
découvertes pourraient aider à clarifier la relation entre la schizophrénie et
d’autres troubles de l’humeur, menant possiblement à de nouvelles stratégies
thérapeutiques. Cependant, l’article note également qu’il faudra effectuer plus
de recherches pour déterminer si ces stratégies sont possibles.
-
- Lire la suite....... |
 |
|
L’emploi et l’insertion des personnes handicapées dans la fonction publique |
18 octobre 2007 |
Le premier neuroleptique : libération du fou ou démission sociétale ? |
18 octobre 2007 |
La Toile se construit en
partage: beaucoup d'écrits intéressants dont celui-ci, de Séverine
Massat (Universitaire de formation : philosophe et historienne
des sciences) in
agoravox.fr  Notre problématique
consiste à ramener à la surface le travail sémantique qui s’est opéré sur
un dérivé de phénothiazine (la chlorpromazine), en partant des postulats de la
psychiatrie des années 50. Notre démarche déconstruit le travail expérimental de
Jean Delay et Pierre Deniker (psychiatres à l’hôpital Saint-Anne et mandarins de
l’époque) pour aboutir à la construction de l’identité de la molécule
chlorpromazine, d’abord utilisée en chirurgie pour lutter contre le choc ou
maladie post-opératoire par Henri Laborit (1914-1995), et qui fait l’objet d’une
véritable ré-appropriation par la psychiatrie. « Le monde actuel ne sait que faire de ceux qui ne
sont pas - ou qui ne sont plus - compétitifs : personnes âgées, chômeurs,
handicapés, jeunes des quartiers pauvres, malades mentaux... Le vieux couple de
la folie et de la misère est de nouveau là, sous nos yeux, dans la rue. Fous,
délinquants et criminels se retrouvent une fois de plus sous le même toit, celui
de la prison, comme au temps de Louis XIV »
(COUPECHOUX, Patrick, Un monde de fous, Seuil, Paris, 2006, p.16.
) Le Largactil premier médicament antipsychotique est mis
sur le marché en 1952 par la firme Rhône-Poulenc. Qu’il s’agisse des histoires
des médicaments contemporains ou des écrits spécialisés sur l’histoire et les
développements de la psychiatrie, ce médicament est décrit unanimement comme
« révolutionnaire » et cela à plusieurs niveaux.
-
- Lire la suite....... |
 |
|
Pour voir un psychiatre, mieux vaut ne pas être dans le Nord et à la campagne |
18 octobre 2007 |
Par La rédaction du Post , le 09/10/2007 C'est ce qu'on comprend en lisant le plan santé mentale 2005-2008, dont le bilan est présenté aujourd'hui par Roselyne Bachelot. Paradoxes.C'est bien connu, ce n'est pas facile de voir un psychiatre. Vite, en tout cas. - 
- Lire la suite....... |
|
Ces actualités sont visibles sur les sites Internet des délégations UNAFAM 02 - 11 - 16 - 17 - 19 - 21 - 23 - 30 - 34 - 39 - 41 - 48 - 58 - 66 - 71 - 80 - 84 - 87 - 89 - 972 dont le contact presse est : Marie Seules les actualités marquée du signe * sont en provenance du siége de l'UNAFAM dont le contact presse est : Anne Pierre-Noël 10 précédentes 10 suivantes 
(1) (2) (3) (4) (5) (6) (7) (8) (9) (10) (11) (12) (13) (14) (15) (16) (17) (18) (19) (20) (21) (22) (23) (24) (25) (26) (27) (28) (29) (30) (31) (32) (33) (34) (35) (36) (37) (38) (39) (40) (41) (42) (43) (44) (45) (46) (47) (48) (49) (50) (51) (52) (53) (54) (55) (56) (57) (58) (59) (60) (61) (62) (63) (64) (65) (66) (67) (68) (69) (70) (71) (72) (73) (74) (75) (76) (77) (78) (79) (80)
|
|